Ne restons pas sur la voie, notre société est un train sans freins qui nous fonce dessus à pleine vitesse.
La plupart d’entre nous ne savent même plus pourquoi ils travaillent. Combien d’entre-nous vont, encore tous les matins, au travail le cœur léger avec la joie de voir son patron et ses collègues ?
Nous subissons tous des pressions insupportables sous le couvert de la crise et des objectifs à tenir.
On nous a inculqués pendant des décennies qu’il faillait un boulot pour avoir une belle vie. Quelle belle vie ?
Une vie de métro-boulot-dodo où on ne voit plus grandir ses enfants ?
Une vie où on ne prend plus le temps pour l’être aimé ?
Une vie où nos rêves sont remplacés par de la publicité ?
Une vie où le boulot est plus important que la vie ?
La belle vie ce n’est pas ça.
Qu’y a t-il de plus important que le sourire des personnes aimées ?
Une belle grosse bagnole allemande ?
2 semaines all-in dans un hôtel 5 étoiles au milieu des bidonvilles du Tiers-Monde ?
Le dernier smartphone à la mode ?
Tout ça pour, le temps d’introduire le code d’une carte bancaire, ressentir une bouffée d’adrénaline. Nous confonds, trop souvent, plaisir et désir.
Le vrai plaisir est bien plus simple, plus accessible.
Un weekend en amoureux dans la nature.
Regarder son enfant faire du trampoline.
Préparer un bon petit plat et voir les gens se resservir.
Boire un coup avec des potes et refaire le monde.
Rentrer à la maison avec un bouquet de fleurs, juste comme ça.
Regarder n’importe quoi à la TV avec la tête de son partenaire sur l’épaule…
Ce sont les vrais plaisirs simples qui nous enlèvent le poids de nos épaules. C’est les seuls qui comptent et qui resteront gravés dans nos mémoires.